Allocine est accusé par "L'Avenir" (sur le website lavenir.net et non sur papier) d'être complaisant à l'égard de certains films surtout "Les nouvelles aventures d'Aladin" . Les critiques presse auraient été sélectionnés et beaucoup de critiques spectateurs seraient suspectes.
Bon, les critiques négatives et même très négatives restent là quand même. Je me demande aussi qui a apprécié la BA et détesté le film.


Ceci dit, qu'est-ce que je pense des critiques de l'Avenir : beaucoup de mal. Et de toute la corporation d'ailleurs.

Douteux critiques de cinéma

Ils doivent sérieusement se remettre en question. Aussi bien pour le nombre d'étoiles qu'ils accordent aux films qu'à leur texte.
D'une manière générale, ils accordent beaucoup plus d'étoiles au films psychologiques et (pseudo)-intellectuels. Pourtant, l'audiovisuel de grand écran n'a pas à faire réfléchir. Leur films à éviter plairont souvent à beaucoup de monde.
Leurs textes est souvent plus de la littérature que de l'info. Ils essaient rarement de passer en revue l'ensemble des caractéristiques du film. Leur langage est souvent sibylin.
Rappellons le problème du vocabulaire qui est trop mal défini.
Ils font souvent des références à des éléments que seuls quelques uns peuvent connaître.

Leurs textes sont généralement mal délimités en chapitres. On pense trouver des conclusions dans le paragraphe "ce qu'on en pense", mais non, ils continuent dans le descriptif.

Parfois, ils dérapent complètement, par exemple Jonathan Leenaerts (L'Avenir) dans son persiflage de "Le transporeur - héritage". Mais il y en a d'autres. Nicolas Clément (le Vif) préfère le délire à l'analyse. Connaît-il seulement le sens de "rocambolesque"?

Des réformes sont à apporter.
Il faut un travail d'équipes. Les professionnels doivent travailler avec des spectateurs lambda.
Ils devraient d'abord travailler pour le Web et pas pour des marchands de papier.
Aide au cinéma, aide à la presse... Il y a moyen de financer quelque chose de mieux, de plus coordonné, de plus complet. (Allocine dépend d'un groupe capitaliste et de la publicité)

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Qu'est-ce qu'une histoire apporte au spectacle?